CONTRIBUONS ET DEMANDONS LE DÉVELOPPEMENT DE LA CENTRAFRIQUE
Si nous continuons à soutenir et promouvoir le secteur informel (travail au noir), les caisse de l’État centrafricain resteront vides. On ne pourra jamais aspirer au développement. Même si on nous prête 1000 milliards. Faisons la différence entre investissement et contribution.